Ligne éditoriale
Recherche et Cas en Sciences de
Gestion
(RCSG) vise à promouvoir
la création et la diffusion des études de cas en sciences de
gestion.
Les études de cas sont destinées à servir des objectifs ambitieux de
transmission des savoirs, en amenant les étudiants, les
professionnels et les enseignant-chercheurs à
intégrer les connaissances
scientifiques les plus avancées et récentes dans un domaine donné.
Chaque cas est ainsi centré
sur un thème particulier appartenant à une
ou plusieurs
disciplines des sciences de gestion (ex : le
reporting intégré en
comptabilité). Il permet de mettre en pratique des concepts
théoriques ou outils de ces disciplines qui devront être clairement
explicités.
Si les cas ont une vocation
pédagogique, les auteurs sont généralement amenés à porter leur
audience vers des
questionnements scientifiques.
Les cas soumis doivent être
inédits. Ils présentent des situations d’organisations ancrées
dans l’actualité des problématiques de management, basées sur des
données réelles (primaires ou secondaires). Le nom de
l'organisation doit être explicitement mentionné, seuls les noms des
protagonistes peuvent être changés dans le cas où la confidentialité
l'exigerait. Le rapprochement entre enseignement et recherche est une préoccupation majeure de ce projet éditorial. A côté de (1) l'étude de cas, (2) son guide de solutions et d'animation, les auteurs doivent soumettre (3) un article sur le cas, présentant les enjeux du cas au regard des recherches existantes.
(1) Format de l'étude de cas
L’étude de cas comprend comprend 15 pages maximum, annexes comprises.
Le document sera soumis au format Word, caractères Times New Roman
12, format A4 :
-
1 page de garde présentant le titre du cas, le résumé en français et
anglais présentant l’intérêt et l’actualité du cas (100 mots maxi) +
mots clés
- 10 à 15 pages présentant l’énoncé du cas (texte principal +
annexes)
- 10 à 15 pages de proposition de traitement des données du cas,
incluant d’éventuelles consignes d’animation pour une utilisation
dans un contexte d’enseignement
Ø
Page de garde
Sur la page de garde, sont
mentionnés les éléments suivants:
1- Le titre du cas (cf. ci-dessous). Le cas porte un titre en deux
parties : une première partie mentionne le thème du cas, la seconde
partie porte le nom de l’entreprise, suivie d’un jeu de mot destiné
à « accrocher » le lecteur. Ex :
LES NIVEAUX DE LA STRATÉGIE
3M : des produits qui vous scotchent
2- Le ou les auteurs avec leurs coordonnées complètes
(adresse professionnelle, téléphone, e-mail).
3- Un résumé en français, ne dépassant pas 100 mots, suivi de 5 mots clés.
4- Un résumé en anglais, ne dépassant pas 100 mots, suivi de 5 mots clés.
Ø
Enoncé
L’énoncé associe un texte principal et des annexes, dont le lecteur
pourra mobiliser les informations. L’auteur veillera à ce que toutes
les données nécessaires au traitement du problème proposé soient
bien présentes dans l’énoncé. Le texte principal est constitué de
plusieurs paragraphes précédés d'intertitres contextualisés. Il
comporte une introduction, et s'achève par une conclusion mettant en
perspective la situation de l'entreprise étudiée. Les annexes font
partie des informations nécessaires au traitement du cas.
Les sources sont indiquées en note de bas de page. L’auteur
peut éventuellement énumérer les principales sources en fin d’énoncé
après les annexes. L'énoncé s'achève sur une mise en perspective de
la situation présentée.
La proposition de traitement des données du cas par l’auteur n’est
pas nécessairement la seule possible ; cependant, l’auteur doit être
en mesure de montrer qu’il existe une possibilité de solution
convaincante et argumentée aux problèmes posés.
Cette solution doit être en lien avec les approches, démarches ou
théories mobilisées dans la revue de littérature.
Il ne serait question de proposer une « note pédagogique » vague,
sous prétexte que d’autres solutions peuvent être envisagées.
L’auteur veillera à présenter les rubriques suivantes :
- La liste des « Objectifs pédagogiques » visés par le cas
- La liste des «
Thèmes/outils » mobilisés
- Les questions de l’étude de cas
- La « proposition de traitement du cas »
Les réponses aux questions doivent être détaillées, et reposer à la
fois sur le cas, les annexes et les thèmes/outils à mobiliser pour
la résolution du cas. Les références doivent être explicites.
Les réponses ne se limitent pas à une énumération d'éléments de
correction. Elles font l'objet d'une rédaction détaillée
(introduction, développement, synthèse).
Nous attirons l’attention des auteurs sur le fait que des rappels
théoriques rapides et le lien avec la littérature académique
existante sont à introduire dans la correction.
Le
respect du format des cas n’est pas seulement une contrainte
indispensable pour assurer la cohérence de la revue, c’est avant
tout un canevas destiné à aider l’auteur à se mettre en conformité
avec l’esprit de la ligne éditoriale.
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(3) Format de l'article sur le cas
L’article sur le cas (15 pages maximum, bibliographie comprise) comporte un titre distinct de l'étude de cas. Le titre est suivi des résumés en français et en anglais (distincts de ceux de l'étude de cas), ainsi que des mots clés associés. L'article sur le cas comprend deux parties:
-
La première partie est dédiée à la
revue de littérature des
articles académiques pré-existants sur les thématiques abordées dans
le cas, en mettant notamment en lumière les recherches les plus
récentes et les problématiques soulevées (en complément et en option
une revue de la littérature des cas de recherche ou pédagogiques
existants, permettant de préciser le positionnement du cas proposé)
En complément et en option, les auteurs pourront développer leur
retour d’expérience d’animation du cas, sous une forme qualitative
(réponses apportées par les apprenants) ou quantitative (enquête
avant-après, évaluation de l’intérêt apporté au cas).
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